Attente impasciente [PV: Zangyaku Youshou]

Lyoko tournait en rond dans sa cage. Ensin, tourner en rond, c'était une expression car la cage dans laquelle attendait Lyoko était trop étroite pour premettre ce genre de mouvements. La jeune Neko avait comme commentaire sur sa cage : "Neko vièrge et docile". Bon, la seule chose pour elle interressante c'était que cet écrit lui cachait le soleil le matin.
Pour s'étirer la petite Neko passa ses mains à travers la cage. Que faire ? Elle n'en savait rien, Lyoko faisait les yeux doux à chaque personne qui passaient mais elle ne se retournait même pas. La petite voulait juste quelqu'un qui s'occupe d'elle pour lui permettre en retour de s'occuper d'elle ou il...
La petite était habillée d'une nuisette qui soulignait ses formes. On lui avait donné également un string et c'était tout. Les vendeurs aimaient bien Lyoko car elle était parmit les seules Nekos à leur faire des gateries sans chercher à s'enfuir. Mais c'était dans l'éducation de Lyoko de faire plaisir aux gens. N'importe qui qu'il soient. Alors lorque les clients demandaient une jeune Neko vièrge comme Lyoko, les vendeurs en montraient d'autres. C'est ainsi que depuis trois jours la jeune fille était dans sa cage, seule et qu'elle essayait de donner envie aux passant de l'acheter....

Ce beau matin, pour le moin ensoleillé,ou la brise n'était présente que pour caresser la peau des passants et la refroidir,Zangyaku,vêtu d'une chemise bleuâtre tres foncé,presque noire, et d'un jean correct,aucun trous qui semblerait vulgaire dans cette ville de bourges. Du moin cela était le point de vue du jeune homme qui méprisait chaqun des habitants de ce pays. Pourquoi ? Mais tout simplement qu'ici,l'on rencontrait des nekos à chaque coin de rue, et que pour le jeune homme,cela n'était pas vraiment habituelle.
Dans son ancienne ville pauvre, seul les personnes de classe supérieur, tel les bourgeois ou autres riches de la même sorte avaient les moyens de s'acheter ces bêtes,c'était en effet un signe de richesse là bas ,le pays où la tyrannie régnait sur chaques habitants de ce misérable ... je dirai presque .. le mot "Bidon ville.." mais l'ancienne maison de Zangyaku me l'interdit... C'était une des moins pauvres,bien que délabrer et vieille,tenant sur un sol fait de terre et d'herbe,construit avec des pierres collées pour le moin grossierement ....

Une fois que le jeune homme sortit de ses pensées,il regarda autour de lui,un regard toujours aussi lourd et pesant ... Ses yeux bleu et sa chevelure longue et dorée pourraient faire penser que Zangyaku est un garçon comme les autres,poli,courtois et toujours prêt a rendre service ... Bien qu'il soit complétement le contraire de cet exemple,personne ne pourrait s'en douter ... si ce n'est qu'il porte toujours son couteau de cuisine avec lequel il a commit ses trois premiers meurtres avec lui. On peut aussi distinguer que l'homme n'est pas si gentil qu'il le laisse paraitre dans ses yeux,toujours entrouverts,une dose d'amertume à l'intérieur,et le compte est bon pour faire fuir les gens d'un simple regard de sa part ...

L'homme continuait d'aborder les rues avec un sourire mesquin,sadique,nargeur aux lèvres. Il passait souvent devant l'animalerie où il était déjà entré plusieurs fois pour ... "s' amuser " ...
Une fois arrivé devant celle ci,il s'arrêta et vit une nouvelle vendeuse ... Son sourire s'agrandit alors,la mésquinerie s'évapora tandis que le sadisme grandit ... Il deguaina discrétement son arme blanche et s'avanca vers la boutique ou il entra comme si de rien n'était,lançant des regards noirs aux nekos qui le scrutait. Il se tourna alors vers la vendeuse toute souriante.

<< J'aurai besoin d'une neko ... trouvez m'en une ou ... >>

Sur ses paroles,la lame du couteau se retrouva sur le cou de la vendeuse qui fut horrifiée a la vue de ce qu'elle avait sur la peau. Elle s'empressa alors d'aller lui chercher une neko qui pourrait plair a l'homme qui se tenait devant le comptoir. Pour changer,cette fois ,ci,la vendeuse fut plus agressive,en effet,elle fit semblant de soulever une cage de chat mais ramassa une massue,puis se releva rapidement et tenta d'assener un coup a l'homme qui ne fut point surpris par cette attaque banale. Il se contenta de pencher la tête sur un coté,d'attraper la massue d'une main et de planter son couteau dans l'artere jugulaire dans le cou de la femme de l'autre. Elle commença a se vider de son sang,mais,elle tenta alors d'assener un kick dans la tête de Zangyaku qui se baissa en arriere et empêcha le coup d'aller droit dans sa tête.

*Même plus besoin de la toucher,dans quelques secondes elle est par terre... *

Elle recommença a essayer de l'attaquer,a chaque effort,son sang se vidait encore plus,jusqu'a qu'elle tombe a terre dans une flaque rougeâtre.Zangyaku qui venait de faire son boulot,se passa la langue sur les lèvres,et appliqua l'etuit sur la lame de son arme ensanglantée. Puis,commençant a sortir ...

*Bon,une neko de plus ou de moin a la maison ça me fera de la compagnie ... et je pourrais m'amuser.. *

Il regarda alors dans la pièce remplit de ces Hommes mi-chats ... Il ne se fit pas prier et prit celle qui lui semblait la plus belle par la poignée de la cage ,la souleva comme d'un rien et la sortit dehors ...
Sans même la regarder il lui dit:

<< Je suis maintenant ton maître,tu dois m'obeir au doigt et à l'oeil si tu ne veux pas que ta vie te sois brusquement coupée ... >>

Lyoko assista à toute la scène en se disant. "Merci, pourvu que ce soit un homme comme cela qui me prenne". Non, Lyoko n'était pas completement maso, mais elle voulait servir à quelque chose et elle sentait que là, sa docilté et sa douceur pouvait être execée. Bon, c'était vrai que cet homme était violent et sangunaire. Mais que pouvait-on faire, il plaisait à la petite Neko même si il lui faisait peur.

A la vue de ton ce sang, elle eu un léger haut le coeur, la petite n'avait jamais vu autant de sang en une seule fois. Certes, lorsqu'elle vit ceci elle se rapella de son dos bléssé par une maîtresse qui la torturait, des règles qu'elle avait déjà eu, des scarification qu'un autre maître se faisait sur son propre corps. Elle se souvint de tout le sang qu'elle avait déjà vu.
Lorsque l'homme la pris sa nuisette remonta dangeuresement mais elle ne dit rien, elle ne poussa aucun cri, elle baissa juste les yeux et se laissa faire. Elle avait mal d'être tennue comme un sac, un objet, mais en même temps, elle se sentait étrangement en sécurité près d'un tueur. Lyoko se courba pour offrir une meilleur prise à l'homme.
Elle regarda de la hauteur à la quelle l'inconu la tennait, la vendeuse morte, Lyoko fit une légère grimace. Elle eut un pincement au coeur. Elle était gentille, cette vendeuse pourtant, pas comme ces pervers de gardiens de nuit... Cette femme était peut être trop caractérielle. Dommage pour elle.

Une fois dehors l'homme lui parla sans la regarder. Elle hocha la tête et d'une voix calme, soumise et métrisée, elle déclara un :

- Bien maître.

Lyoko observa le jeune homme de derrière, ce tueur n'avait pas l'air si méchant que cela, sans doute avait-il eu dans sa jeunesse un traumatisme qui faisait que sa conduite était celle qu'il avait aujourd'hui... Comment savoir ? La petite Neko détailla ses cheveux car c'était à peu près tout ce qu'elle voyait de lui. Ils étaient longs, aussi blancs que les siens mais ceux de son maître avaient des reflets dorés très beaux.

La jeune Neko était fière d'avoir un tel maître, il allait peut être réaliser son rêve ? La faire devenir une vrai esclave. Même si Lyoko allait peut être être posée à terre, elle se jura sur son honneur que jamais elle lui désobérirait et qu'elle le suivrait jusqu'au bout du monde. Elle ferait tout celon ses désirs.

Zangyaku avança ,toujours la cage dans la main. Une fois plusieurs minutes à marcher dans les rues de Neko-city,il s'arreta devant un banc blancheâtre ou il s'assit,posant la cage a coté de lui. Il enleva le verrou de sécurité et fit sortir la petite neko qu'il regarda d'un air méprisant.Zangyaku avait toujours ce regard depusi qu'il était petit...
C'était une qualité qu'il fallait dans son ancienne ville,un peu la loie de la jungle ... Si tu fais peur,personne ne t'emmerde,si tu ne fais pas peur,tu te fais démonter ... Zangyaku avait donc été obliger de s'y résigner ...

Se perdant dans ses pensées il ne regarda pas la neko qui,elle,semblait être intéréssé par son visage qu'elle scrutait depuis un moment. Zangyaku regardait les passants avec un air provoquateur,droit dans le syeux,c'est come si il les agressait psychologiquement. C'etait une des choses qu'il arrivait le mieux a faire,persecuter les gens sans les toucher,mais il n'y appliquait pas souvent,préférant tout de même la maniere forte. Quand un grand homme s'arreta net devant la jeune neko et passa une main sur son visage.

<< Ho,elle est belle ! Elle est a vous ? >>

Demanda t-il a zan en se tournant vers celui ci. Le jeune homme ne repondit pas,sans même le regarder,les yeux dans le vide,il l'attrapa pars les cheveux et le tira vers lui,sortit son couteau et le lui enfonça dans la joue,puis le retira et laissa l'homme. Celui ci cria d'affolement en voyant son visage ensanglanté,puis il regarda l'homme qui restait indifferent. Il Dirigea son poing vers sa tête. Zangyaku n'effectua aucun mouvement,il attrapa juste son poing dans la main,et lui la serra tellement fort que son os craqua,puis il la retira aussi vite qu'il le put.

<< Mais il est taré ce mec ! >>

Il commenca a courir,Zangyaku se leva,il lui mit un petit croche patte dans les jambes,l'homme qui ne s'y attendait pas alla s'ecraser la tête la premiere sur le bitume. Une trace de chaire resta sur le chemin que le corps avait parcourut en tombant a terre. Le jeune homme le laissa agoniser,il fit rentrer la neko dans la cage puis la prit par la poignée et recommenca a marcher comme si rien ne venait de se passer,c'etait en quelque sorte la routine pour Zangyaku qui tuait en moyenne quatre personnes par semaine,pour le plaisir,ce n'est qu'une distraction pour lui. Il marcha une bonne vingtaine de minutes sans faire attention a la neko,puis il arriva devant son immeuble. Il poussa la porte,marcha jusqu'a l'ascenseur. Chaque pas faisait une resonnance que Zangyakou detestait. Il appuia sur le bouton pour que l'engin vienne les chercher. une dixaine de secondes plus tard,la porte s'ouvrait,Zangyakou et la cage de la jeune fille entrait à l'intérieur.Arrivez au 3em étage,il sortit et entra la clef dans la serrure,la tourna et entra. Il referma derriere lui et fit sortir la neko,posa son trousseaux sur une table et la regarda.

" Ou veux tu dormir ? avec moi ou dans un lit a part ? .. "

Lyoko n'avait pas bougé lors de la violance de ce second meutre. Elle regardait juste avec admiration son nouveau maître. Il la trimballa une bonne vingtaine de minute. Dans sa cage, Lyoko ne Bronchait pas. La etite Neko essayait d'équilibrer le poid de son corps pour que la cage de bouge pas trop.

"Que va-t-il faire à Lyoko ?", se demlanda la petite Neko, elle n'avait pas peur de la mort, c'était pour elle une étape par laquelle tout le monde passait, plus ou moins vite. La petite ne bougeait pas, elle essayait de réfléchir. Elle n'avait jamais été bien formée pour ça et son language était restrint à l'acceptation que son maître lui indiquait et aux compliments qu'elle pouvait lui faire.

Il arrivèrent dans un immeuble et attendirent l'ascenseur. Lyoko qui de sa cage ne pouvait pas voir sur quel bouton son maître avait appuié ne sus pas à quel étage ils étaient. Mais elle n'en avait que faire. Son maitre faisait d'elle ce qu'il souhaitait et elle n'avait pas l'intention de partir. Ils entrèrent dans l'appartement du maître et elle pu enfin sortir. Pourtant, la petite Neko resta à quatre pattes. Comme un vrai chat.
Sa nuisette était fraiche d'avoir été dehors mais la petite Neko avait chaud, elle avait toujours été chaude, c'était un aventage, un don peut être, elle n'avait jamais eu froid. Elle regarda autour d'elle, puis baissa les yeux.

- Lyoko dormira là où son maître deignera l'accepter. Lyoko est prèste à dormir avec son maître s'il le souhaite.

Dit-elle d'une voix douce. Son vocabulaire n'était pas étendu et le "je" était réservée à ses maîtres, elle n'avait jamais employé la première personne du singulier. Et malgré ces lacunes, Lyoko n'avait pas une voix enfantine, elle était calme et raisonnée. La jeune vierge était prète à tout faire avec son maître après les émotions qu'elle avait eu.

La petite Neko se coucha aux pieds de son bon maître, elle ronronna doucement. Elle était prète à recevoir des coups de pieds s'il n'était pas content même des coups de son redoutable couteau. Elle était prète à tout pour le satisfaire dans la limite de ses possiblilités.

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