Dans l'attente désespérée d'un maitre... [pv Aido]

Akira ouvrit doucement les yeux après une longue nuit de sommeil. Autour d'elle, tout tremblait légèrement. Elle était allongée dans ce que les humains appelaient "une cage". Il y avait tout plein de Nékos autour d'elle. Elle se rappela alors de ce qui s'était passé la veille.

~ Flashback ~

La jeune Néko ouvrit les yeux, toute tremblotante. Elle aperçut au-dessus d'elle le visage masculin d'un docteur pour Nékos. Il lui sourit et lui expliqua ce qui s'était passé:
Tu es tombée dans le coma 16 ans avant, tu te souviens? Tu fêtais ton anniversaire et soudain tu as eu un choc. Ta maman t'as alors ammenée à l'hôpital, et nous t'avons examinée. Et alors...
C'est alors qu'entra une infirmière, qui regarda la néko et lui sourit tendrement. Puis elle s'adressa au docteur.
Docteur Jayston, je crois que nous devrions lui trouver un maitre maintenant. On ne peut pas la laisser en permanence dans cet hopital.
D'accord, mademoiselle Mildred. Nous ferons ça demain. Nous la confierons à la foire, avec d'autres Nékos.
Les deux personnes se levèrent et sortirent de la pièce. Akira s'endormit paisiblement sur son lit.

~ Fin du flashback ~

Akira sombrait si bien dans ses pensées qu'elle oublia qu'elle se dirigeait vers la foire. L'arrêt brutal du véhicule dans lequel elle se trouvait la ranima. Un homme costaud enleva la couverture qui reposait sur la cage et Akira vit les rayons doux du soleil pénétrer dans sa petite cage. Puis il ouvrit la porte et passa une chaine autour du cou de chaque Néko. Lorsque vint son tour, Akira ne protesta pas.
Un autre homme, qui était probablement le vendeur des Nékos prit l'une des chaines et tira un des Nékos en dehors de la cage. Il lui sourit joyeusement et donna de l'argent au premier homme. Puis il revint un peu plus tard, et recommença avec un autre Néko.
La cage se vidait lorsque Akira sentit une légère douleur au niveau du cou. Son tour de quitter cette cage était arrivé. Elle sortit avec obéissance et le vendeur lui sourit tendrement, comme pour les autres Nékos. Il tira sur la chaine pour entrainer Akira vers sa nouvelle cage, qui cette fois avait l'air plus confortable. Elle vit une pancarte accrochée à sa cage sur laquelle il était écrit ces lettres:

Akira
Féminin
14 ans
Vierge
Caractère très doux, très aimable
Enfance difficile
/!\ Peut s'évanouir lors de trop fortes émotions

Elle se demanda pourquoi il était écrit "Vierge", mais elle n'eut pas le temps de réfléchir que le vendeur de Nékos la poussa dans sa cage. Elle se retrouva seule, avec pour seule compagnie une écuelle d'eau et une écuelle de nourriture. Elle se roula en boule et miaula. Elle décida alors de faire une petite sieste.
Lorsqu'elle se réveilla il était déjà tard dans l'après-midi, les cages aux alentours était presque toutes vides. Sur la place du village régnait un silence affreux. Lorsqu'elle vit une forme humaine s'approcher de sa cage, elle se précipita sur le bord de la cage et s'aggripa au grillage.

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Une existence seule lui paraissait impossible, lui qui
avait toujours vécu entouré de sa famille et de ses amis, parfois même de
servantes et de nourrices. Depuis peu, Aido avait remarqué l’importance des
nekos dans cette société, depuis leur invention, les humains se conduisaient de
manières parfois plus douces ou parfois brutales. Partout, on sentait leur
présence comme un parfum éternel, une chanson dont la mélodie ne cessait se
retentir dans la tête. Ces animaux aux gènes d’humains révolutionnaient la vie.

Il était à peu près 18 h de l’après-midi, l’heure où les
enfants rentraient des cours et prenaient leur goûter tout en racontant les
bonnes en évitant les mauvaises choses qu’il avaient eut lors de la journée à
leur mère ; c’était aussi l’heure où certaines familles étaient
joyeusement réunis pour une union familiale. Cette heure était par contre bien
différente pour Aido, c’était celle où il vaquait à son occupation favorite, à
savoir « l’escroquerie ». Il parcourait le net, lisait toutes
sortes de journaux et passait des heures aux téléphones, son métier était vraiment
simple. C’était à cette heure-là qu’il
avait l’habitude de sortir pour se promener, vider la tête et par la même
occasion « chasser ». La ville était plutôt calme, les rues n’étaient
pas aussi bondées qu’il eut crut. Aido traversa divers chemins le menant là où
il voulait se rendre comme à son habitude.

Il était assis sur le banc, seul au milieu du jardin
public, le soleil était à moitié couché et les nuages disparaissaient pour
laisser places à un ciel bleu nuit.

Et encore une vision dont il ne s’en lasserait jamais. Un
passant, un homme d’une trentaine d’années accompagné par son Neko, une petite fille dans les 20 ans. Ils
marchaient d’une allure lente et légère, discutant de choses dont la distance
empêchait Aido d’entendre, ils paraissaient heureux, comme un vrai petit couple.
Ce genre de chose lui arrivait trop souvent le rendant presque désespéré, à
croire que lui seul n’avait pas de neko. Il se leva finalement et s’apprêta à
partir, quand un miaulement aigus l’interpella, c’était un petit chaton caché
dans les buissons, l’air perdu… Aido le fixa comme un idiot, ne sachant que
faire ; quand l’animal sauta par-dessus les buissons et fonça comme un
animal sauvage sur la route. Le jeune homme le suivit des yeux et
instinctivement se mit à courir lui aussi.

La course le mena alors jusqu’à une petite rue dont il
ignorait l’existence, elle ressemblait aux autres rues, sauf qu’il y avait une
animalerie bâtie non loin du jardin public. Le chaton avait mystérieusement
disparus, le hasard ne lui aurait-il pas jouer des tours… ? Puisqu’il y
était, autant y entrer. Vu de l’extérieur, la boutique avait belle allure, et
semblait même accueillante. Le jeune homme y entra et ne fut pas déçu de ses
espérances vues de l’extérieur, elle était effectivement bien chaleureuse et
propre. Il y avait quelques clients qui venaient et revenaient sur les animaux ayant
retenus leur attention. Les cages ne semblaient pas si inconfortables qu’aurait
pu laisser croire la morale sur les droits des animaux. On aurait dit de petites
maisons de poupées réservées aux nekos. Il faisait comme les autres, allant et
revenant sur divers nekos qui contrairement n’avait pas retenus son attention
mais qui avaient plutôt donné l’impression d’être complètement fou furieux.

Il y en avait une, différente des autres, calme, sage qui
le regardait se rapprocher, il se baissait à sa hauteur et l’observa quelques
instant. Il y avait une plaque indiquant les renseignements importants au sujet
de l’animal. Il s’était arrêté sur un mot en particulier qui selon lui était
une erreur ridicule, qui voudrait connaître la virginité d’un animal…enfin,
selon-lui seulement.

- Bonjour…Veux-tu sortir de ta cage …Aki..ra ? ^^

Lorsque Akira vit la forme humaine s'approcher, elle courut vers le bord de sa cage et s'aggripa au grillage. Elle observa le beau jeune homme à la taille svelte et le trouva très gentil à son goût. Il s'agenouilla et la regarda, elle lui rendit alors le regard le plus sympathique qu'elle pouvait faire. C'était un regard lumineux, tendre et profond mais cependant pensif et nostalgique. Lorsqu'elle observait l'humain dans les yeux, le temps s'arrêta autour d'elle. Elle ne savait pourquoi, mais quelque chose la rattachait à l'humain.

" Bonjour…Veux-tu sortir de ta cage …Aki..ra ? "

Sous l'effet de la surprise, la jeune Néko cessa de regarder l'humain avec ses yeux pensifs. Ils devinrent implorants durant quelques secondes, puis elle se sentit rougir légèrement alors elle déposa son regard au sol.

*Il... propose de devenir mon maitre!*

Elle hésita quelques instants, puis redressa la tête et plongea son regard flamboyant dans les yeux du jeune homme. Ses yeux étincelaient - ou presque. Elle fit alors un large sourire confiant et irrésistible. Elle murmura d'une voix douce:

"Oh oui... s'il vous plait monsieur... monsieur comment? Sans trop être indiscrète?"

Elle le fixait avec des yeux implorants et curieux.

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Il rit, elle était très mignone et naïve, ses yeux exprimaient tellement de sentiment, elle lui plaisit bien; il avait besoin de compagnon comme elle. Les bruits autours ne le berturbaient plus, il se préoccupait d'elle, elle commençait à l'amuser. Puis il se leva, alla vers le seul comptoir dressé dans un coin d'où on pouvait tout surveiller, il y avait une grosse boîte ouverte qui dévoilait des clefs, il chercha la bonne qui portait le numéro 39 et la saisit pour enfin revenir à la cage d'Akira. Il ouvrit et la laissa sortir, les autres autours d'eux les regardaient, certains avec des regards interrogateurs, d'autres avec des airs compatissants, il avaient l'air de dire " que c'est mignon ". Le jeune hommme leur lança un regard poli et un petit sourire puis les oublia la seconde d'après.

Elle avait l'air de bien se porter, ridicules ce que disent ceux qui croivent qu'ils sont maltraités; la preuve du contraire était devant ses yeux. Les gens écoutaient vraiment que ce que disent les autres sans voir par eux-même les choses.

- Tu peux m'appeller Aido , et je t'apellerais Akira ^^ !

Les présentations faites, il fallait encore l'adopter. Il alla prendre deux chaises et s'assit sur l'une d'elle en offrant l'autre placée devant lui à la neko. Toujours aussi poli , il se contenta de sourire et de la laisser se débrouiller. l'intelligence des nekos était toujours un mystère pour lui. Il pouvaient bouger, agir et parler comme des humains...ces choses était naturel et en même temps incroyables. Quand il furent enfin face à face, le jeune homme la détailla plus sérieusement; sans compter sa queue, et les oreilles, on pouvait parfaitement la prendre pour une simple fille. Mais ses parties animales la distinguait et la rendait bien plus intéressantes.

- j'aimerais devenir ton maître, et que tu viennes vivres avec moi Akira... Es-tu d'accord ?

De toute évidence, la question n'était pas nécessaire, mais ce n'est que par principe et politese qu'il la posait. Elle avit déjà exprimer sa joie dès le moment où il lui avait posé sa première question. Il sourit, ayant déjà la réponse. Il resta face à elle et la regarda, les mains dans les poches, seuls ses yeux sembaleint s'occuper d'elle...

Elle fit un léger sourire enjôleur lorsque Aido sourit. Elle le vit alors se lever, elle ne comprit pas pourquoi. Allait-il partir? Ses espoirs étaient-ils finis? Elle le regarda, le coeur battant la chamade. Elle le vit revenir avec une petite chose métallique dans les mains que les humains appelaient "clef". Ses yeux s'illuminèrent. Il ouvrit sa cage sans se préoccuper des autres. Certain le regardaient avec un regard interrogateur, d'autres avec des airs compatissants. Elle vit alors son futur maitre sourire poliment.

*Oh, comme il est beau comme ça...*

Hésitant un peu, les jambes toutes tremblantes, elle sortit de sa cage avec une démarche élégante.

"Tu peux m'appeller Aido , et je t'apellerais Akira ^^ !"

Elle le regarda avec des yeux tendres, tellement tendres. Elle aurait tant voulu le remercier de l'avoir libérée, mais tout ce qu'elle réussit à articuler fut:

"Euh... Appelez-moi Aki, je préfère ça..."

Mais elle regretta aussitot. Sa mère lui avait expliqué qu'il ne fallait pas donner des ordres à un humain mais au contraire faire tout à leur guise, ceux-ci se croyant supérieurs au Nékos. Elle se mordit la lèvre inférieure et baissa la tête, les joues en feu.

Aido lui présenta alors une chaise, l'invitant à s'asseoir. Elle s'assit donc avec une aisance naturelle. Le jeune homme commença alors à la regarder ce qui la gênait beacoup. Elle posa ses mains sur ses genoux.

"J'aimerais devenir ton maître, et que tu viennes vivres avec moi Akira... Es-tu d'accord ?"

Elle sentit alors son futur maitre la dévorer des yeux, ses joues recommencèrent à virer au rouge pivoine. Elle balbutia:

"Euh... et bien... euh... oui, oui, bien sur..."

Elle se maudit intérieurement pour sa maladresse. Elle leva timidement les yeux pour regarder Aido.

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On sentait que le courant était passé entre eux, il se parlaient et agissaient naturellement sans gêne, enfin, à part quelques rougissement trop voyants de la jeune fille, il semblerait qu'il étaient fait pour s'entendre. Il sourit toujours, gardant cet air joyeux et aimable . Si elle savait qui il était véritablement, elle en serait certainement choquée. La neko insistait sur quelques mots pour qu'il l'apelle simplement Aki, court et très mignon. Il se sentait nettement mieux et plus à l'aise, malgré les apparences, il était inquiet à l'idée d'avoir un compagnon, qui plus est était une fille. Mais les mots et la tendresse venaient machinalement et aucune gêne ne l'handicapait. Après tout, depuis peu, il avait prit cet habitude d'être seul, et le voilà à présent en compagnie d'une charmante neko.

- D'accord Aki ^^ ! Tu viendras avec moi, tu verra je m'ocuperais bien de toi ! comme d'une soeur !

Ses yeux finirent part se détacher d'elle et se poser sur le comptoir qu'il venait de quitter. Cette fois-ci, un homme y était, habillé à la mode " père-de-famille" il arborait un sourire acceuilant et quelque peu fier d'avoir des clients. Aido se leva et rengea sa chaise, il se dirigea ensuite vers l'homme et se présenta, puis échangea quelques mots avec le vendeur qui l'écoutait sans sourciller. Quelques secondes plutard, le jeune homme fit signe à Akira de le rejoindre. L'adoption était plutôt simple, c'était comme acheter des glaces au super-marché, il y avait juste quelques papiers à remplir, qu'Aido expédia en quelques minutes, grâces à son habilité et sa rapidité. La dénommée Akira fut à ses côtées et il lui lança un regard doux et joyeux. Elle était désormais " à lui " .

- Te voilà libre Aki, j'ai hate que tu rentres avec moi ^^ !

Il y avait cependant un petit problème, Aido était incontestablement un garçon et Akira était une jeune fille. Suivant les anciennes traditions familiales, hommes et femmes ne sont pas autorisés à " se fréquenter " d'àprès un certain âge dont Aido n'avait pas encore atteint... De ce fait, jamais vécu véritablement avec des filles de son âge, le jeune escroc ne savait comment s'occuper d'une fille et neko en plus. Milles et une questions lui traversaient l'esprit. De toute façon, il deva s'en sortir seul, les nekos sont loin d'être des enfants immatures.

- Veux-tu quelques accessoires ?

Akira, en formulant sa réponse, sentit alors qu'elle ne regretterair pas son choix. Elle sentait que quelque chose la reliait à Aido. Ils semblaient être faits pour s'entendre, et d'ailleurs elle en était sure, son intuité féminine de néko lui l'affirmait. Elle se sentit très à l'aise à ses côtés, et cela paraissait réciproque. Mais elle était en même temps inquiète, car elle n'avait jamais vécu avec un seul homme à part son père.

- D'accord Aki ^^ ! Tu viendras avec moi, tu verra je m'ocuperais bien de toi ! comme d'une soeur !

Akira fit un sourire enjôleur et vit alors Aido regarder en direction de ce quelque chose dont elle ne connaissait pas très bien le nom, elle fronça les sourcils pour essayer de s'en souvenir. Là-bas, il y avait un autre homme, qui ne s'arrêtait pas de faire des sourire doucereux. Quelque chose chez lui produisaient des légers malaises à Akira.
Elle vit alors Aido se lever et se diriger vers cette "chose". Soudain, elle s'en rappella. Cela s'appelait un "comptoir", et les humains s'en servaient pour acheter des choses. Les yeux d'Akira s'illuminèrent de joie. Il écrivait des choses à une vitesse folle et avec agilité, ce qu'Akira admirait beaucoup.
Soudain le vendeur se leva et se dirigea vers Akira, qui fronça légèrement les sourcils. Il s'approcha d'elle et tira sur la corde autour de son cou, la forçant à se diriger vers le comptoir. La Néko ne put qu'obéir. Elle s'arrêta devant Aido, qui lui lança un regard doux et soyeux.

- Te voilà libre Aki, j'ai hate que tu rentres avec moi ^^ !

Elle lui rendit un sourire confiant et franc. Elle vit alors que le jeune homme semblait hésiter... peut-être n'avait-il pas l'habitude de s'occuper d'une néko?

- Veux-tu quelques accessoires ?

La jeune néko s'approcha de son visage et lui murmura dans l'oreille d'une voix aimable et douce:

"C'est comme vous voulez, du moment que je peux rester à vos côtés et que je vous plais..."

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Elle ne parlait pas beaucoup et se contentait de faire plaisir, ne serait-elle pas trop gentille ? Il la regarda droit dans les yeux, mauvais comme il est pour déchiffrer les autres, il laissa tomber et sourit. Puisqu'elle lui laissait le choix, il se conduira en bon maître, mais ne connaissant guère les goûts d'Akira, il allait peiné pour lui trouver quelque chose de bien. Après quelques secondes de réflexions intense sur la question du goût, il se décida enfin à agir. Aido se dirigea vers un coin boutique et accessoires de l'animalerie, et là se retrouva face à de sérieux problèmes... Il y avait des centaines d'accessoires minuscules ou super gros, aux divers couleurs et formes, c'était le bazare total à ses yeux complètement bousillées par toutes ces couleurs flamboyantes et vraiment vulgaires. Autant la boutique était belle, propre et acceuillante, autant cet endroit reflétait l'inverse. Il gloussa et fonça dans le tas.

Colliers pour chat, nouritures pour chat, robes pour chat, et même bijoux pour chat. Il se sentait comme un idiot devant toutes ces choses pour chat. Il avait beau chercher et chercher, rien ne semblait lui plaire, les colliers lui paraisaient trop " masochistes " , la nourriture lui donnaient la nausée, les robes étaient complèteemnt vulgaires et les bijoux un peu trop voyant ( et faux en plus ). Il était vraiment en galère, s'occuper d'une fille neko était au de-là de ses forces.

- Bon, puisqu'il en est ainsi, je laisse tomber, tu n'as pas besoin d'accessoires, on ira faire les boutiques si tu le désires, mais ici, impossible de te trouver un truc bien !

Il s'avou enfin vaincu et baissa les bras, de toute façon, Akira n'était pas une poupée dont on pouvait maquiller ou accessoriser comme une petite fille et son jouet. C'était une jeune adolescente ! Le problème qui est de loin le plus important était la cohabitation...Cela devait être bien organiser. Aido devait se préparer à ce qu'il y ait quelqu'un d'autre chez lui , la solitude ne serait qu'un lointain souvenir, il avait désormais Akira, et elle l'avait lui !

Il vint ensuite vers elle, sourire aux lèvres. Autours d'eux, les autres semblaient les avoirs oubliés, la jolie scène émouvante leur avait suffit pour qu'il devinent la suite. Il était enfin décider à rentrer, en hate qu'elle découvre sa nouvelle demeure, il était un peu excité et à la fois inquiet.

- Allons-y Akira ^^ !

Sur ces mots, ils sortirent de la boutique et partirent ...

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